Blog – PurpleLeaf Consulting | Build, Grow, Prosper https://www.purpleleaf.eu Cabinet de Conseil en Management Wed, 04 Dec 2019 13:51:51 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.3.18 Intelligence Artificielle : bientôt la fin du travail ? https://www.purpleleaf.eu/blog/intelligence-artificielle-bientot-la-fin-du-travail/ https://www.purpleleaf.eu/blog/intelligence-artificielle-bientot-la-fin-du-travail/#respond Wed, 04 Dec 2019 10:47:11 +0000 https://www.purpleleaf.eu/?p=1885

L’Intelligence Artificielle bouleverse la notion de travail et les métiers de demain.

Il s’agit d’un concept qui ne date pas d’hier. En 1956, John McCarthy, professeur au MIT puis à Stanford, avait déjà utilisé ce terme pour désigner un système capable d’apprendre, de s’adapter et de raisonner. Si à l’époque, l’idée pouvait sembler ridicule, elle est actuellement en passe de devenir évidente. Comme l’affirmait en son temps le philosophe allemand Arthur Schopenhauer, toute révolution franchit systématiquement trois étapes : « D’abord, elle est ridiculisée. Ensuite, elle subit une forte opposition. Puis, elle est considérée comme ayant été une évidence. »

Car il faut bien l’admettre, l’intelligence artificielle est en train de pénétrer tous les secteurs d’activités et de révolutionner le monde qui est le nôtre et évidemment tous les métiers actuels. Son cœur d’activité ? La prise de décision reposant sur le traitement d’une plus ou moins grande quantité d’informations.

Cette révolution va nous obliger à réinventer notre société, tout en nous invitant à réintégrer notre humanité, c’est à dire ce qui fonde notre singularité d’être humain. Si les machines peuvent prendre des décisions sur la base de petaoctets d’informations, nous serons toujours capables de prendre des décisions sur la base de notre intuition ou de notre instinct. Les métiers de demain en dépendent.

Selon le psychiatre suisse, Carl Gustav Jung, l’intuition est « un pressentiment. Ce n’est rien. Comment pouvez-vous définir une intuition ? Soudain vous vous souvenez de quelque chose, vous prévoyez quelque chose que vous ne pouviez absolument pas prévoir. C’est complètement infondé. » Il n’empêche, c’est cette même intuition qui permet de lire « par-delà les choses ». C’est ce « rien » qu’il va désormais nous falloir réinvestir pour cohabiter avec ces machines sans nous faire cannibaliser par elles.

L’homme augmenté de demain n’est pas celui qui a un smartphone dans la main, une puce électronique sous la peau et des « Google-Glass » sur le nez, mais bien celui qui avance en étant connecté à ce qui fonde son humanité.

Dans le monde du jeu, l’intelligence artificielle a récemment enflammé les débats après la victoire écrasante de la solution AlphaGo développée par DeepMind (Google) sur l’un des meilleurs joueurs de Go au monde.

Dans le secteur de la santé, les projets pilote se multiplient et permettent la détection de tumeurs sur des images médicales grâce à des algorithmes de deep learning, ou la génération de prescriptions parfaitement adaptées à travers l’analyse des informations médicales des patients.

Dans le secteur juridique, où les décisions reposent également sur un volume d’informations considérable, de nombreuses expériences voient le jour. Désormais les magistrats des villes de Rennes et de Douai expérimentent un logiciel prédictif qui leur permet de prendre en compte toute la jurisprudence existante afin de prendre des décisions plus justes.

La criminologie commence également à s’intéresser aux opportunités offertes par l’IA. Aux Etats-Unis, les villes de Seattle et de Los Angeles ont mis en place une solution dont l’efficacité serait jusqu’à deux fois plus performante que leurs meilleurs criminologues. Sa particularité ? Elle est capable d’identifier les lieux ayant les plus fortes probabilités d’être les théâtres d’un crime…

Le secteur de la finance, la banque JP Morgan en est un bon exemple, avec sa machine d’intelligence artificielle « COIN » qui peut résoudre, en une seconde, des arbitrages financiers qui prennent normalement 360.000 heures de travail aux avocats de la société !

Certains analystes estiment même que la fonction commerciale, que l’on pouvait imaginer parfaitement hermétique à l’IA, serait une « candidate parfaite » avec 95% de la force de vente remplacée par des agents intelligents dans les 20 prochaines années. Car les dernières avancées permettent aux machines intelligentes de « capter » les ressentis et les émotions de leurs interlocuteurs : au travers des micro-expressions du visage, mais également des conversations écrites et des propos tenus.

Lorsque nous prenons la mesure du bouleversement qui s’annonce, il est difficile de ne pas être pris de vertige et de s’interroger sur les métiers de demain. L’essayiste américain Jeremy Rifkin, grand influenceur et conseiller politique, ne l’avait pas manqué. Selon lui, l’automatisation massive du travail touchant désormais également les cols blancs débouchera sur… la fin du travail.

Fin du travail ou non, les choses risquent de bouger très fort et très vite. Il faut donc se questionner sur les métiers de demain.

De façon imminente, nous devrons donc faire face à des machines capables de raisonner, de prendre des décisions, de comprendre nos émotions et de créer. Des machines raisonnantes, « émotionnantes » et créatives.

Demain, le travailleur devra être « liquide » : adaptable, flexible, « change ready ». Autrement dit, être capable de se réinventer chaque jour pour faire ce que les machines d’intelligence artificielle ne sauront pas (encore) faire.

PurpleLeaf propose de offres d’accompagnement pour vous aider à mieux gérer votre carrière. Pour en savoir plus, contactez nous !

Cet article est partiellement tiré de celui écrit par Virginie Rio-Jeanne, Consultante senior auprès du cabinet de conseil Mews Partners, et paru dans Harvard Business Review du 28 Septembre 2017.

Pour lire l’article dans sa totalité : cliquez ici

Auteur : Caroll le Fur

 

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Esprit analytique et Management : quelle compatibilité? https://www.purpleleaf.eu/blog/esprit-analytique-et-management-quelle-compatibilite/ https://www.purpleleaf.eu/blog/esprit-analytique-et-management-quelle-compatibilite/#respond Wed, 04 Dec 2019 10:46:27 +0000 https://www.purpleleaf.eu/?p=1883  

Il y a quelques semaines, dans le cadre de notre expertise d’accompagnement, j’ai été amenée à coacher une jeune cadre dont le souci était le plafond de verre auquel elle se heurtait : elle n’arrivait pas à évoluer dans la hiérarchie, alors que ses compétences et son professionnalisme semblaient reconnus par tous.

Dès les premières séances, elle et moi en sommes arrivées à la conclusion que plus que le plafond de verre, c’était son fort esprit d’analyse qui l’empêchait d’évoluer: elle restait engluée dans son besoin de maitrise total et passait son temps à vérifier son travail et celui de son équipe. Avec si peu de temps pour montrer et développer sa dimension stratégique.

Un article de la Harvard Business Review paru en 2016 montre comment trop d’informations peut être préjudiciable à la décision. Le rôle d’un manager est justement de décider, et parfois rapidement, sans avoir tous les tenants et les aboutissants et donc sans certitude absolue.

Au fur et à mesure que l’on avance professionnellement et que l’on grimpe dans la hiérarchie, il n’est pas toujours facile de trouver la bonne distance entre analyse et prise de décisions. Il faut apprendre à lâcher prise, et à se concentrer sur des tâches moins quotidiennes pour se donner le temps de voir plus loin… et même faire confiance à son intuition. Pas facile quand on a un esprit très analytique. Mais rassurez-vous, le management est à votre portée !

Quelques trucs et astuces pour vous « soigner »

Déléguez pour voir plus loin :

A mesure que vous prenez des fonctions managériales, ce qu’attend votre employeur est moins de maitriser à fond tous les sujets que d’avoir une vision globale de votre mission.

C’est d’autant plus compliqué si l’on a été un/une professionnelle où l’analyse était cruciale. Les financiers le savent bien : il y a une marche entre l’auditeur et le poste de DAF.

Prendre de la hauteur ? facile à dire ! et pourtant c’est bien là la clé qui vous permettra d’asseoir votre crédibilité de manager : moins de temps penché à vérifier les faits et gestes de vos collaborateurs, c’est moins de frustration pour eux, et plus de temps pour vous à réfléchir sur le long terme.

Appuyez-vous sur les bons relais dans l’équipe :

Déléguer ne veut pas dire faire confiance aveuglément. Pour les analytiques, lâcher prise est toujours compliqué. A vous de vous soigner en identifiant rapidement sur lesquels de vos collaborateurs/trices vous pouvez vous appuyer : Apprenez à évaluer quel degré de confiance vous pouvez accorder à chacun et lâchez la bride à bon escient. Privilégiez la pédagogie et la formation afin que tous puissent progresser. C’est à cette condition que vous garderez une équipe soudée et que vous verrez votre efficacité décuplée.

Anticiper :

On vous demande au pied levé une présentation de votre activité et de vos résultats en 10 pages PowerPoint ? Pourquoi passer la nuit à en faire 40 ? Vous devez synthétiser. La solution : ANTICIPER

Prenez un peu de temps pour établir une présentation standard et régulièrement actualisée que vous garderez dans vos tablettes. Ainsi, le jour J, pas de problème, l’analyse et la synthèse sont déjà faites, il suffit de la mettre légèrement à jour. Encore faut-il prendre du temps pour l’établir en amont. C’est un bon exercice pour vous décoller du quotidien…

Faites vous confiance :

Pour un esprit purement analytique, l’intuition relève parfois de la magie. C’est intangible… et ce n’est pas basé sur des faits clairement identifiables. Considérez que l’intuition n’est rien d’autre que la somme des expériences auxquelles vous avez déjà été confrontés. Il n’y a rien de magique, c’est un automatisme, une analyse que vous avez déjà menée et que vous n’avez pas besoin d’explorer de nouveau. L’intuition vous permet juste d’aller plus vite.

A l’heure du Big Data, il est d’autant plus important de faire la part des choses : l’objectif de l’analyse est de prendre une décision, non de se noyer dans l’information.

Pour vous aider à y voir plus clair, PurpleLeaf vous accompagne sous forme d’analyse psychométrique, et/ou de coaching pour vous accompagner dans votre carrière. Pour en savoir plus, contactez nous !

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Et si vous changiez de carrière? https://www.purpleleaf.eu/blog/et-si-vous-changiez-de-carriere/ https://www.purpleleaf.eu/blog/et-si-vous-changiez-de-carriere/#respond Wed, 04 Dec 2019 10:45:35 +0000 https://www.purpleleaf.eu/?p=1880

Qui ne s’est jamais posé de questions sur son avenir professionnel, sur son job actuel et futur ?

La réorientation professionnelle : un sujet d’actualités

Deux chiffres très étonnants ressortent d’une enquête menée par Opinion Way et l’Afpa :

  • 74% des salariés ont déjà envisagé de changer de vie
  • 60% des actifs ont déjà connu un changement d’orientation professionnelle

 

Soit 17 millions de personnes environ ! On est loin du monde du travail où l’on intégrait une entreprise pour y rester jusqu’à la retraite ! Désormais, la reconversion est une phase naturelle d’un parcours professionnel.

55% des personnes ayant effectué une reconversion professionnelle estiment être plus épanouis sur les plans personnel et professionnel et pour 46%, l’équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle s’est amélioré.

Dans l’ensemble, donc, la reconversion professionnelle débouche sur plus d’épanouissement pour des personnes, qui sont plus en phase avec ce qu’elles veulent faire de leur vie.

Mais, il ne faut pas idéaliser la réorientation professionnelle car 94% des personnes interrogées la jugent difficile !

De plus en plus de personnes se demandent comment trouver non seulement le job qui donnera du sens à leur quotidien mais aussi la carrière qui les rendra heureuses.

La méthode évoquée pour l’accompagnement d’une orientation réussie pour les jeunes peut aussi être une vraie source de réflexion pour les adultes en réorientation professionnelle sur leur carrière future. Tout n’est finalement qu’affaire de questionnement !

Changer de métier, changer d’orientation professionnelle, faire le grand saut ou parfois juste oser envisager un autre horizon peut s’avérer inquiétant, stressant mais peut aussi être une véritable source de satisfaction …

Comment changer de métier ?

Comment construire sa réflexion ? Le faire seul ? Avec un consultant ? Avec un coach ?

La réorientation professionnelle est un sujet trop sérieux pour être traité de façon désinvolte.

Vous seul(e) avez la réponse mais ne partez pas à l’aveuglette. Construisez votre démarche, construisez votre pensée.

Aidez-vous de livres d’auto-coaching qui vous permettent d’avoir une réflexion structurée et vous donnent les étapes à franchir pour avancer pas à pas sur le chemin de l’analyse.

Certes, cela demande un travail considérable d’introspection et d’analyse de vous-même. Vous devrez faire votre propre bilan de compétences.

Le cheminement est toujours complexe mais tellement riche d’enseignements sur ce que nous sommes et ce que nous ne sommes pas.
Pour vous aider à y voir plus clair, vous pouvez avoir recours à différents questionnaires de personnalité, de motivation mais toujours, vous devrez vous poser des questions et y répondre.

N’hésitez pas à solliciter votre entourage : famille, amis, connaissances. Demandez-leur leur avis et écoutez ce qu’ils vous disent de vous. Parlez compétences, motivations, aspirations, savoir faire, savoir être, savoirs.

Bien sûr, faites le tri !

Tout n’est pas bon à prendre et surtout éviter les avis tranchés, les propos dogmatiques ou ceux qui sont pétris de certitudes et de convictions sans vraiment les argumenter.

Si vous choisissez de vous faire accompagner par un professionnel, nous pouvons vous aider à faire le bon choix en lisant nos articles sur les sites PurpleLeaf et BestFutur ou tout simplement vous pouvez nous solliciter, nous écrire, nous appeler …

Contactez nous! Purpleleaf Consulting ou Bestfutur

 

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Et si on arrêtait de recruter (que) des compétences techniques ? https://www.purpleleaf.eu/blog/et-si-on-arretait-de-recruter-que-des-competences-techniques/ https://www.purpleleaf.eu/blog/et-si-on-arretait-de-recruter-que-des-competences-techniques/#respond Wed, 04 Dec 2019 10:44:26 +0000 https://www.purpleleaf.eu/?p=1877

La « Guerre des Talents » n’a pas encore atteint son pic. Certains professionnels affirment même qu’elle n’a pas encore commencé. Pour tout recrutement, chaque entreprise souhaite sécuriser son choix, réduire les risques au maximum, et embaucher LA bonne personne.

Chacun sa méthode. Certains ne se fient qu’aux recettes qui ont fait leur preuves, et déroulent un processus classique d’entretiens, d’autres se fient presque exclusivement à la science et louent les bienfaits du seul Big Data et des logiciels de sélection.

Mais ceci ne donne un aperçu que des compétences « techniques » du candidat à l’instant ou celui/celle-ci intègre votre entreprise.

Ces 2 approches du recrutement sont incomplètes. Selon Forbes, les recruteurs qui reçoivent plus de 250 cvs ne consacrent que 6,5 secondes (en moyenne) à la lecture d’un CV. Ils se focalisent donc sur les compétences factuelles.

NPrendre en compte les seules compétences techniques est un biais de recrutement : ceci ne donne qu’une image très incomplète de la candidature examinée. Si on recrute quelqu’un pour ses compétences, on s’en sépare presque toujours pour des raisons comportementales…voici ce qu’il faut retenir :

1° Le recrutement des seules compétences ne garantit pas le succès dans le poste.

Même pour des recherches de compétences techniques précises, même rares, le recrutement « binaire » n’est pas une garantie de succès pour le moyen / long terme. La raison en est simple : les tests validant les compétences techniques ne mesurent rien d’autre que l’expertise technique et la technicité. Mais l’embauche et la rétention d’un Talent est bien plus complexe : il est nécessaire de projeter le futur collaborateur dans le contexte global. Ce qui en fera un Talent pour l’entreprise n’est pas sa maitrise d’Excel, ou sa connaissance de la dernière loi financière, mais bel et bien sa capacité à s’adapter, à apprendre… et donc sa personnalité… et celle ci est trop rarement évaluée lors du processus d’embauche.

2° Les compétences d’aujourd’hui ne sont pas celles de demain :

Si nous ne pouvons encore calculer tous les impacts de la technologie sur les emplois d’aujourd’hui, il est sûr que tous les secteurs de l’industrie sont touchés. Selon le Business Standard : 50% des jobs aujourd’hui n’existeront plus en 2025. Dès lors, comment évaluer les compétences dont l’entreprise aura encore besoin dans 3 ans ? dans 5 ans, dans 10 ans ?

Sans même parler de la notion de salariat qui évolue : sans pousser le modèle aussi loin que celui d’Uber, les sociétés font appel à de plus en plus de freelances. Comment attirer un crack s’il gagne mieux sa vie et choisit ses projets en tant en dehors du salariat? Nombreuses sont les sociétés de services informatiques qui comprennent aujourd’hui l’enjeu essentiel de l’attraction des Talents.

3° L’intelligence émotionnelle et faculté d’adaptation peuvent être plus stratégiques pour le succès du recrutement que les compétences techniques.

Nombre d’entreprises omettent de prendre en compte l’intelligence émotionnelle (ie : la capacité à interagir avec les autres) dans leurs processus de recrutement. Soulignons que la montée du Digital n’aide pas, bien au contraire. L’illusion est de penser évaluer l’Humain comme un facteur technique, sans prendre en compte le caractère… Humain, non tangible par nature.

Il est nécessaire de prendre en compte les aspects émotionnels des candidats : facteurs comportementaux, capacité relationnelle, capacité à s’adapter, aptitudes cognitives, en plus des compétences techniques.

Une étude récente de Ernst & Young fait apparaitre que les employeurs cherchent en priorités l’esprit d’innovation et l’adaptabilité. Or, les qualités cognitives, telles que la capacité à résoudre un problème, la capacité à imaginer et appliquer des solutions sont aisément vérifiables avec des tests d’aptitude menés par des acteurs spécialisés.

4° L’importance de la marque employeur :

C’est l’ingrédient secret qui rime avec attraction et fidélisation des Talents. Une récente étude Linkedin en fait état. Elle montre que les candidats sont de plus en plus sensibles à la marque employeur outre les aspects purement salariaux. Quelle est la culture de l’entreprise ? est elle en phase avec leurs propres valeurs ? Comment seront ils traités en interne ? Quelles évolutions professionnelles peuvent ils espérer ? Quels sont les plans de formation, de développement? …etc…

Alors comment faire ?

Et si on arrêtait de recruter (que) des compétences techniques ?

Arrêter de raisonner à l’envers : les meilleures embauches se font en prenant en compte l’ensemble des éléments d’analyse c’est à dire bien sûr les compétences techniques du candidat/ de la candidate, mais aussi, l’attitude recherchée, le comportement. Ensuite (et seulement ensuite) vous pouvez définir quelle formation et quelle expérience rechercher.

La seule façon de résister à la pression du marché candidat très tendu est de protéger votre investissement le plus précieux : l’Humain.

PurpleLeaf propose à ses clients une gamme de tests psychométriques et / ou cognitifs pour sécuriser vos décisions de recrutement. Contactez nous !

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8 mars? Et maintenant que fait-on? https://www.purpleleaf.eu/blog/8-mars-et-maintenant-que-fait-on/ https://www.purpleleaf.eu/blog/8-mars-et-maintenant-que-fait-on/#respond Wed, 04 Dec 2019 10:42:32 +0000 https://www.purpleleaf.eu/?p=1875 8 mars? et maintenant que fait-on?

Le monde a fêté mercredi, comme tous les 8 mars, la Journée internationale des femmes, aussi appelée journée des droits des femmes. Pour 2017, le thème retenu est la place des femmes dans le monde du travail. Voici le message de la directrice exécutive d’ONU Femmes, Phumzile Mlambo-Ngcuka, à l’occasion de la Journée internationale des femmes, le 8 mars 2017:

« Nous voulons bâtir un monde du travail différent pour les femmes. En grandissant, les filles doivent être exposées à un large éventail de carrières et être encouragées à faire des choix qui les mènent à des emplois dans les secteurs de l’industrie, de l’art, de la fonction publique, de l’agriculture moderne et des sciences, au-delà des services ménagers et d’aide à la personne traditionnels.

Ce changement doit d’abord s’opérer au sein même des ménages et dès le plus jeune âge à l’école pour qu’à aucun moment dans l’environnement de l’enfant, il ou elle n’entende que les filles sont inférieures, qu’elles doivent s’attendre à moins et avoir des rêves moins ambitieux que les garçons.

Un tel objectif nécessitera des ajustements en matière d’éducation parentale, de cadre et de programmes scolaires ainsi que de stéréotypes quotidiens que relaient les médias comme la télévision, les publicités et les émissions de divertissement. C’est avec cette détermination que nous parviendrons à protéger les jeunes filles de toutes les formes de violences et des pratiques culturelles préjudiciables comme les mariages précoces.

Les femmes et les filles doivent se tenir prêtes à prendre part à la révolution numérique. Seuls 18 % des détenteurs d’un diplôme en sciences informatiques du premier cycle universitaire sont des femmes à l’heure actuelle.

Nous devons parvenir à une évolution significative du nombre de filles qui choisissent d’entreprendre des études dans les domaines des sciences, de la technologie, de l’ingénierie et des mathématiques dans le monde, si l’on veut que les femmes puissent prétendre réussir leur sélection aux emplois de « nouvelle génération » bien rémunérés. Les femmes ne représentent actuellement que 25 pour cent de la main-d’œuvre de l’industrie numérique.

Pour parvenir à l’égalité dans le milieu du travail, il faudra arriver à offrir davantage d’opportunités d’emplois décents, qui nécessiteront des efforts ciblés de la part des gouvernements afin de promouvoir la participation des femmes à la vie économique et de recueillir le soutien de collectifs importants comme celui d’organisations syndicales. Les femmes elles-mêmes devront présenter des solutions permettant de faire tomber les barrières actuelles à leur participation, comme le propose le Groupe de haut niveau sur l’autonomisation économique des femmes du Secrétaire général des Nations Unies (https://www.empowerwomen.org/fr). Les enjeux sont élevés : faire avancer l’égalité des femmes pourrait stimuler le PIB mondial de 12 billions de dollars EU d’ici 2025.

Cet objectif implique également une détermination à éliminer les multiples discriminations dont sont victimes les femmes en raison de leur sexe, mais aussi de leur orientation sexuelle, leur handicap, leur grand âge et leur race. Les inégalités salariales suivent le schéma suivant : l’écart salarial moyen est de 23 pour cent, mais celui-ci s’élève à 40 pour cent chez les femmes afro-américaines des États-Unis. Dans l’Union européenne, les femmes âgées ont 37 pour cent plus de risque de vivre dans la pauvreté que leurs homologues masculins.

Dans les industries où les femmes sont déjà surreprésentées et mal payées, sans protection sociale ou presque, nous devons faire en sorte qu’elles accommodent mieux les femmes. Un bon exemple serait un secteur de l’aide à la personne à l’économie robuste qui réponde aux besoins des femmes et les emploie ; des conditions de travail équitables pour le travail rémunéré et non rémunéré des femmes ; et un soutien aux femmes entrepreneuses, en leur facilitant notamment l’accès aux financements et aux marchés. Les femmes qui travaillent dans le secteur informel devront également voir leurs contributions reconnues et protégées.

Il sera pour cela nécessaire de favoriser la mise en place de politiques macroéconomiques qui contribuent à une croissance inclusive et accélèrent considérablement les progrès en faveur des 770 millions de personnes qui vivent dans une pauvreté extrême.

La lutte contre les injustices requiert une volonté et une flexibilité de la part des employeurs des secteurs à la fois public et privé. Des mesures devront être mises en place pour recruter et retenir les employées telles que des prestations de maternité plus généreuses qui facilitent également leur réinsertion dans le monde du travail, l’adoption des Principes d’autonomisation des femmes et une représentation directe aux niveaux décisionnels. La prestation d’avantages sociaux attribuée aux nouveaux pères nécessite également d’importants changements avec en parallèle une évolution culturelle qui fait de la prise du congé de paternité et parental un choix viable dont toute la famille profite. »

Vous souhaitez faire avancer les choses dans votre entreprise ? PurpleLeaf vous propose son expertise. Contactez nous.

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La Parité ? OUI ! mais dans 170 ans ! https://www.purpleleaf.eu/blog/la-parite-oui-mais-dans-170-ans/ https://www.purpleleaf.eu/blog/la-parite-oui-mais-dans-170-ans/#respond Wed, 04 Dec 2019 10:41:35 +0000 https://www.purpleleaf.eu/?p=1873 La parité? OUI!...dans 170 ans!En tant qu’entreprise de conseil en RH, la parité est depuis toujours un des chevaux de bataille de PurpleLeaf Consulting.

Et le débat reste ouvert. Surtout à l’heure où un homme peut être élu par des millions d’Américains malgré ses propos dégradants vis à vis des femmes.

L’échéance du 1er janvier 2017 prévu par la loi Copé-Zimmerman arrive à grand pas et des questions se posent. Car la parité est encore loin d’être atteinte. Elle a même tendance à reculer. Un rapport très récent du Forum de Davos, établi à partir des statistiques de 114 pays, montre que l’égalité salariale entre les deux sexes ne sera atteinte que dans 170 ans, contre 118 l’an dernier.

Plus que jamais, les femmes constatent un écart dans leur avancement de carrière et/ou de leur rémunération par rapport aux hommes. Eurostat fait état d’un écart salarial de 15 à 20% selon les modes de calcul .

En France, pn pouvait penser que les choses avançaient. Pourtant, malgré la loi Copé-Zimmerman, et plus de 10 000 plans égalité femmes-hommes déposés par les entreprises, le résultat n’est pas prometteur.

Puisque les idées et bonnes intentions semblent demeurer lettres mortes, il est important de montrer les impacts positifs de la parité sur le « business » des entreprises.

Démonstration en quelques points:
1° La parité Hommes/Femmes conduit à une meilleure efficience économique pour l’entreprise.

Equipe complémentaire & diversifiée = plus de profits. Ce n’est pas compliqué à comprendre. Dans un monde économique complexe, il faut être plus innovant, créatif et plus adapté à un monde économique complexe. Différents articles attestent que la présence des femmes dans le Management des entreprises contribue à une meilleure performance globale de l’entreprise.

C’est pour cette richesse, la diversité managériale, que chaque entreprise aurait intérêt à s’assurer qu’elle place dans ses instances dirigeantes autant de femmes que d’hommes.

 

2° Il existe un « Female Factor »

Oui, le leadership au féminin est différent du leadership masculin. Et il a ses avantages. Selon une étude, les femmes se montrent moins frontales, souvent plus diplomates que leurs collègues masculins. Plutôt efficace en temps de crise quand il faut mobiliser les équipes.

Une autre étude américaine montre que la présence d’un leadership plus féminin, avec des qualités d’écoute et de communication impacte favorablement la performance de l’équipe.

Il s’agit de complémentarités managériales, et de la reconnaissance des bienfaits d’intégrer des femmes au groupe.

A contrario, les femmes doivent elles aussi apprendre de leurs collègues masculins. Elles demeurent excellentes dans l’opérationnel, mais négligent le networking, essentiel dans le monde des affaires.

 

3° La parité hommes / femmes permet de lutter efficacement dans la guerre des talents

Car ne nous y trompons pas, nous nous trouvons bel et bien dans une Guerre des Talents. Le taux de chômage des cadres n’est que de 4,4%. Cette tension est accentuée par la mobilité des cadres. Ils bougent pour évoluer, font monter les enchères et n’ont pas d’état d’âme. Terminé la carrière dans une seule et unique entreprise!

Savoir fidéliser ses collaborateurs est devenu un facteur clé de succès pour toute entreprise qui évolue dans le monde économique d’aujourd’hui.

Or, les femmes sont un réservoir de Talents.

Les sociétés qui n’accordent pas la juste valeur à la parité passent à côté d’une opportunité RH en or. Le sociologue Milan Bouchet Valat, chercheur en sociologie, affirme que les femmes sont aujourd’hui plus diplômées que leurs homologues masculins. Et selon un article du Figaro, les Françaises seraient les plus ambitieuses.

Les femmes compétentes et bien formées choisissent les entreprises dans lesquelles elles sont considérées et jugées sur un pied d’égalité.

S’assurer que son entreprise est aussi juste avec les hommes qu’avec les femmes est un premier pilier à une bonne fidélisation de ses meilleurs employés.

 

4° – La parité Hommes / Femmes permet un meilleur réalisme dans la « vision client »

Les femmes représentent 49,6% de la planète. Selon la Harvard Business Review, se couper des femmes dans le mode managérial revient à se couper d’une partie du marché. Elles décident et influencent de nombreuses décisions d’achat, pour leur foyer ou leur entreprise.

Pour conclure, il ne s’agit pas de remplacer un mode managérial par un autre, mais plutôt le compléter, l’enrichir: la parité hommes/femmes est le Yin et le Yang : ils se complètent en fonction de la vie de l’entreprise. Alors « La Parité? OUI! mais dans 170 ans ! » ?

La parité est une évidence pour toute société soucieuse de répondre aux besoins des clients en ménageant ses Talents. Des talents multiples et sur lesquels l’entreprise pourra compter quelque soient les enjeux du marché.

Dans le cadre de notre expertise Women@Work, notre équipe les entreprises à mettre en place la parité chez les entreprises conscientes des atouts que l’équilibre apporte.

Cet accompagnement, riche de nos échanges avec les clients que nous rencontrons quotidiennement est le gage d’un retour éclairé sur le sujet.

Pour en savoir plus, contactez nous!

Auteur : Christine Pruvost

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6 bonnes pratiques managériales https://www.purpleleaf.eu/blog/6-bonnes-pratiques-manageriales/ https://www.purpleleaf.eu/blog/6-bonnes-pratiques-manageriales/#respond Wed, 04 Dec 2019 10:40:46 +0000 https://www.purpleleaf.eu/?p=1871 dscn4034

 

Vous êtes Manager depuis quelques années, ou avez été nommé(e) Manager il y a quelques semaines, voici quelques conseils à garder à l’esprit pour démultiplier votre impact managérial. Pas toujours facile à se rappeler quand on est le « nez dans le guidon ».

Prendre de la hauteur

Le poste de manager s’accompagne souvent d’une grande charge de travail. Ne soyez pas sur le pont à tout moment.

  • Ne répondez pas à toutes les sollicitations. Votre rôle est de prendre en charge les dossiers où vous apportez une réelle valeur ajoutée. Il vous faut déléguer les autres tâches.
  • Surtout, réservez du temps pour vous concentrer sur votre autre rôle de manager: le moyen et le long terme : vision, stratégie, organisation de l’équipe, etc.

Travailler la cohésion d’équipe

Si vous vous devez de rester concentré(e) sur l’opérationnel à résoudre les problèmes courants, vous devez garder en tête que votre équipe est composée d’humains.

Les collaborateurs ont besoin de créer du lien entre elles et de sentir qu’elles appartiennent à une équipe.

Négliger la cohésion d’équipe aura des conséquences fâcheuses : démotivation, manque de sens, compétition malsaine, non communication, etc.

Or, vous êtes responsable de la cohésion de votre équipe. Voici quelques actions simples qui la renforcent :

  • Partager votre vision
  • Expliciter les règles
  • Avoir des réunions régulières d’équipe
  • Demander les attentes et les besoins de votre équipe
  • Ne pas oublier de fêter les réussites ou les succès
  • Faire appel à un coach externe pour animer un séminaire de cohésion d’équipe.

Instaurer la bonne distance

Votre poste de manager vous impose un devoir de réserve. Votre parole a maintenant plus d’impact du fait de votre fonction. Vous aurez accès à des informations que votre équipe n’aura pas à connaitre. Vous pourrez vous montrer détendu(e) à certains moments, mais une certaine distance est essentielle, il en va de votre crédibilité.

A l’inverse mettre trop de distance n’est pas une bonne stratégie. Vos équipes ne vous comprendront pas, et vous serez vite déconnecté(e) du terrain.

L’équilibre est parfois compliqué mais vous devez garder en tête que vous êtes un « Manager Ressource » et non un simple Manager donneur d’ordre. Soyez le Chef d’Orchestre, non le soliste.

Savoir recadrer

Un manager qui ne sait pas recadrer sera considéré comme un manager faible. Un manager qui recadre tout le temps sera considéré comme tyrannique.

Afin de se montrer juste, il y a un équilibre à trouver entre poser des limites et laisser de la liberté.

Vous serez en outre évalué(e) par votre hiérarchie sur votre capacité à recadrer à bon escient.

Pour faciliter le rapport avec votre équipe, prenez l’habitude de poser explicitement les règles du jeu dès votre prise de fonction et/ou d’un nouveau projet. Faites simplement part de ce qui est interdit de faire et de ce qui est permis.

C’est une manière de vous affirmer et de rassurer votre équipe. Et gardez à l’esprit que vous ne pourrez pas plaire à tout le monde, et ce n’est pas votre rôle.

Doser la délégation

Avant d’être manager, vous étiez expert dans votre domaine. Vous vous trouviez dans votre zone de confort. Sûr(e) de vos compétences, vous maitrisiez votre sujet.

En tant que Manager, vous n’êtes plus en situation de contrôle, et vous pouvez avoir l’impression que de nombreuses choses vous échappent.

Tenter de contrôler toutes les tâches opérationnelles de vos collaborateurs, n’entraînera qu’une illusion de contrôle, et surtout une charge de travail considérable.

La clé pour s’en sortir, c’est d’apprendre à déléguer et avoir confiance dans votre équipe. Et cela passe déjà par changer vos propres perceptions : Il faut prendre conscience qu’il n’existe pas une seule et unique façon d’accomplir une tâche. Chaque membre de votre équipe possède sa propre façon de travailler, et vous devez leur faire confiance. Même si cela ne se fait pas sans contrôle.

Travailler la gestion des émotions

Le manager est au centre de l’attention et s’expose aux critiques de son équipe et les reproches viennent avec le costume managérial.

Et plus on monte dans la hiérarchie, plus on est critiqué.

Comme on ne peut pas plaire à tout le monde, prendre tout à cœur devient vite insupportable. Il y va de votre équilibre personnel.

La gestion des émotions est une compétence clé dans la fonction managériale. Si vous avez des difficultés, vous pouvez demander un coaching sur ce sujet. Vous pouvez aussi la bible en la matière : L’Intelligence émotionnelle, de Daniel Goleman.

Dans le cadre de notre expertise Coaching, ainsi que dans notre activité de formation, notre équipe vous accompagne à toutes les étapes de votre questionnement afin de vous aider à maitriser votre évolution professionnelle. Pour en savoir plus, contactez nous !

Auteur : Christine Pruvost

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Entretien d’embauche : quelles questions pour les managers ? https://www.purpleleaf.eu/blog/entretien-dembauche-quelles-questions-pour-les-managers/ https://www.purpleleaf.eu/blog/entretien-dembauche-quelles-questions-pour-les-managers/#respond Wed, 04 Dec 2019 10:39:53 +0000 https://www.purpleleaf.eu/?p=1869

entretien d'embauche: quelles questions pour les managers?

Vous cherchez un poste de manager ? Soyez sûr que les recruteurs voudront sonder votre savoir être et vos qualités managériales et ainsi s’assurer que vous serez symbiose avec la culture de l’entreprise. Quelques exemples clés :

Expliquez-moi comment vous avez réalisé tel projet ?

Encore plus qu’un autre entretien d’embauche, celui pour un poste de manager s’apparente à une discussion et pas à un jeu de questions-réponses. Cela ne veut pas dire que le recruteur ne pose pas de questions, mais elles sont majoritairement orientées vers l’illustration de cas de figure auquel le candidat a été confrontés. Cet exercice permet d’entrer dans le concret des capacités managériales de la personne et de la manière dont elle les exploite. C’est par exemple un bon moyen de voir si le candidat parle d’abord de sa propre réussite ou s’il parle de ses collaborateurs. Un bon manager doit être conscient du travail collectif et de l’aspect humain de sa fonction. Si ce n’est pas le cas, c’est assez inquiétant. Pour prendre un exemple d’actualité : Didier Deschamps ne s’attribue jamais tout le mérite des succès de son équipe, il parle plus volontiers parler de l’efficacité des joueurs.

Quel est votre pire souvenir de manager ?

C’est question est très importante. Il ne s’agit pas de mentir en niant les difficultés rencontrées : Un manager qui dit n’avoir jamais rencontré de problème, ce n’est pas vraisemblable. Tous ont eu, à un moment de leur carrière, à gérer une situation de crise, un conflit entre collaborateurs, etc. Cette question n’est pas un piège, car ce qui intéresse le recruteur, c’est de comprendre comment le candidat a analysé cette situation, comment il a pris du recul par rapport à un problème, et ce qu’il en a retiré. En partant du principe qu’on apprend au moins autant de ses échecs que de ses réussites, sinon plus. C’est aussi une manière de tester la résistance du candidat : Manager est une fonction à tension, avec de la mobilité, des équipes multiculturelles et intergénérationnelles, des missions à atteindre en un temps imparti… L’interroger sur ses mauvaises expériences permet d’évaluer sa prise de recul et comprendre son analyse des faits à postériori, ce qu’il changerait s’il y était de nouveau confronté.

Quel est votre meilleur souvenir de manager ?

Cette question, associée à la précédente, permet cette fois de mieux comprendre la personnalité managériale du candidat : Certains répondent que leur plus belle réussite est l’aboutissement d’un projet dans le temps imparti et en respectant le budget prévu initialement. Ce sont généralement des managers très centrés sur l’opérationnel et la conduite d’objectif. À l’inverse, d’autres candidats retiennent la manière dont ils ont su emmener leur équipe vers un statut d’expertise par exemple. Ce sont des managers plus centrés sur l’humain. Selon la fiche de poste, le secteur d’activité, la culture d’entreprise, à vous de choisir sur quel point insister.

Quelles sont les compétences clés d’un manager ?

Cette question permet de sonder par effet miroir ce qui est déterminant pour le candidat dans sa manière de manager, en prenant en compte l’ordre de ses réponses. » Celles-ci sont nombreuses : la capacité à arbitrer, à fédérer une équipe, à la faire monter en compétences, à communiquer, à gérer une crise… Parler de tous ces aspects est aussi un bon moyen de s’arrêter sur tel ou tel cas de figure, de constater si le candidat va s’attarder sur une compétence et moins sur une autre.

Quelles sont vos capacités opérationnelles ?

Contrairement à ce qu’on pense généralement, le manager ne doit pas obligatoirement être un expert du métier de ses collaborateurs. Les exemples sont légion : on ne demandera pas à un dirigeant d’une société automobile d’avoir lui même assemblé les véhicules. Ce n’est pas son métier : son métier est de fédérer une équipe et l’amener son équipe à atteindre les objectifs fixés.

En revanche, comprendre et intégrer les contraintes du métier des ses collaborateurs est primordial. Cela demande une bonne hauteur de vue sur laquelle les candidats seront jugés en entretien.

Pour conclure, insistons sur le fait qu’il n’existe pourtant pas de réponse idéale à donner à chaque situation : pour le recruteur, il s’agit de trouver l’adéquation entre la personnalité, le style managérial, les contraintes du poste, et bien sûr la culture d’entreprise.

Bien sûr un candidat doit se renseigner sur l’entreprise avant l’entretien. Cela reste très important et permet de montrer sa motivation et se « vendre » plus efficacement. Cependant, au final, la différence entre deux candidats se fera sur le « bon mix » des qualités selon le contexte de l’entreprise. Un conseil : soyez conscient(e) de vos atouts, mettez en avant vos qualités, mais ne forcez pas votre nature à tout prix : il en va de votre propre épanouissement professionnel.

Cet article a été rédigé d’après une interview de Christine Pruvost, associée fondatrice de PurpleLeaf, par Cadremploi.

PurpleLeaf Consulting offre des solutions adaptées aux entreprises soucieuses de réussir leurs recrutements. Pour en savoir plus, contactez nous.

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Comment améliorer la performance de votre équipe? https://www.purpleleaf.eu/blog/comment-ameliorer-la-performance-de-votre-equipe/ https://www.purpleleaf.eu/blog/comment-ameliorer-la-performance-de-votre-equipe/#respond Wed, 04 Dec 2019 10:39:01 +0000 https://www.purpleleaf.eu/?p=1867 Performance équipe PurpleLeaf
crédit photo: Alice R

Plus que jamais, la cohésion d’équipe est le facteur clé du succès pour les entreprises, petite ou grandes, et quels que soient les modes managériaux : hiérarchiques « classiques » ou de culture Holacratique.

Parce que c’est par l’équipe que le business avance, ceci implique des collaborateurs engagés, motivés, soudés et solidaires.

Etes vous sûr(e)s de la cohésion dans vos équipes ?

Nous avons identifié quelques règles simples. Plus vous pourrez les mettre en pratique, plus votre équipe sera performante et solidaire.

  1. Une mission collective et des rôles individuels clairs et définis :

Si l’équipe a été constituée, c’est pour remplir une mission. C’est la raison d’être de cette équipe. Cette mission doit servir l’entreprise.

Cette équipe peut être amenée à durer (comme le CoDir d’une entreprise) ou à répondre à un besoin ponctuel dans la vie de l’entreprise (projet de migration informatique par exemple)

  1. Un périmètre identifié

La question sous entendue est qui fait partie de l’équipe ?

Chacun doit savoir si oui ou non il fait partie de l’équipe et les critères d’appartenance doivent être clairs. Chaque membre doit pouvoir savoir pourquoi il fait partie de cette équipe : expertise, expérience, formation…autant de raisons qui font que chaque membre doit trouve sa légitimité

  1. Un leader identifié et reconnu

Un système anarchique, sans leader, où chacun se réfère à sa propre loi ne fonctionne pas.

Une équipe est plus efficace avec un leader (plutôt qu’un « chef »), quelque soit le mode de leadership, c’est celui ou celle qui va coordonner les activités et s’assurer que l’ensemble soit cohérent par rapport à l’objectif global. Le leader Doit être identifié et reconnu par les membres de l’équipe.

  1. Des rôles individuels clairs

Chaque membre doit se sentir légitime et responsable de son action dans l’équipe.

Les rôles de chacun dans l’équipe doivent être définis, les objectifs individuels doivent être en phase avec la mission commune de l’équipe.

Sans oublier les valeurs. Pour une cohésion d’équipe optimale, les valeurs individuelles de chaque membre doivent être alignées avec la mission collective de l’équipe.

  1. Des règles explicites de fonctionnement

Les règles de fonctionnement définissent le cadre de travail et la façon de communiquer entre les membres de l’équipe.

Les règles sont un ingrédient essentiel à la cohésion d’équipe et il est primordial de prendre le temps pour définir des règles explicites.

Que celles ci soient définies par le leader ou par mode participatif, il est crucial que ces règles soient comprises et acceptées par tous.

Cependant, les règles ne sont pas gravées dans le marbre. Elles peuvent évoluer au cours du temps et en fonction des enjeux rencontrés.

En tous les cas, il faut se rappeler que les règles doivent être au service des Hommes et pas le contraire.

  1. Un mode de prise de décisions

Pour qu’une équipe atteigne ses objectifs, elle a besoin de prendre des décisions. Définir le mode de prise de décisions en amont est important. Chaque équipe possède son propre mode de décision, qui sera généralement le reflet de la culture d’entreprise : la décision se fera alors de façon autocratique (le leader décide seul et l’équipe applique), démocratique (un vote est effectué et la majorité l’emporte) ou décidé à l’unanimité.

  1. La circulation claire de l’information

Les membres d’une équipe iront plus loin ensemble à la condition qu’ils sachent communiquer efficacement entre eux et avec l’extérieur.

C’est pourquoi il est important de définir les modalités de circulation des informations dans l’équipe : quelle information doit être diffusée ? Sous quels délais ? A qui et par qui? …etc

  1. L’arbitrage en cas de conflits

Toute vie d’une équipe est parsemée de désaccords, voire de conflits entre ses membres, et c’est normal !

Le danger n’est pas le conflit mais la non gestion de celui ci.

Il faut définir dès le départ qui sera en charge de trancher : Le leader, un membre identifié dans l’équipe ou un comité dédié ?

Tout désaccord non exprimé se transformera en non-dits avec le temps. Alors n’attendez pas que le conflit soit là pour savoir comment le traiter. ANTICIPEZ !

  1. Des valeurs partagées

Nous agissons tous en fonction de valeurs importantes à nos yeux.

Afin de donner du sens à l’action de l’équipe, celle-ci doit se doter de valeurs partagées par l’ensemble de ses membres. Ces valeurs peuvent porter sur divers sujets fédérateurs : le service rendu au client, l’autonomie, le sens, le métier…

Pour une meilleure adhésion, l’équipe peut choisir ses propres valeurs. Cela rejoint le processus de définition des règles communes de l’équipe.

Il se peut également que l’équipe fasse partie d’un ensemble plus grand disposant déjà de valeurs fédératrices. Alors ces dernières peuvent être reprises si elles sont en accord avec la raison d’être de l’équipe.

  1. Rendez vos employés heureux !

Ce point très important est souvent négligé mais il est essentiel. Donnez du sens!

Selon un article paru récemment dans la Harvard Business Review , l’investissement des employés dépend de 2 facteurs : la vitalité (le fait de travailler dans un environnement vivant, enthousiaste), et le développement personnel (apprentissage, développement des compétences…).

Nous y ajouterons la reconnaissance, qui peut être un simple merci ou alors un feedback sur le travail de la personne. La reconnaissance au sens large est un formidable moteur pour l’équipe et assure la cohésion des membres.

Alors Comment améliorer la performance de votre équipe ? Ces quelques règles simples devraient vous y aider.

Si vous souhaitez en savoir plus, nous nous tenons à votre disposition pour étudier avec vous les actions à mettre en place dans votre entreprise afin d’améliorer la cohésion d’équipe. De nombreux clients nous font confiance, contactez nous et rejoignez les !

Auteur : Christine Pruvost

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Comment rester attractif en inactivité? https://www.purpleleaf.eu/blog/comment-rester-attractif-en-inactivite/ https://www.purpleleaf.eu/blog/comment-rester-attractif-en-inactivite/#respond Wed, 04 Dec 2019 10:37:57 +0000 https://www.purpleleaf.eu/?p=1865

Voilà LA question que nombre de candidats nous posent après avoir quitté leur poste. Aujourd’hui, rares sont les candidats qui ne connaissent pas « d’accident de carrière », ou simplement de période d’inactivité… Les chasseurs et les employeurs en sont conscients, et même parfois, considèrent cette étape comme particulièrement constructive. Encore faut-il savoir la mettre à profit. Un article récemment publié dans la HBR nous a semblé répondre à la question.

« … La plupart de ceux qui sont à la recherche d’un nouveau poste sont abreuvés de discours toxiques sur les difficultés du marché de l’emploi. Oui, le marché de l’emploi est compliqué, cependant qu’est-ce qui est le plus utile pour vous ? Vous murer dans un stress profond ou identifier les zones dans lesquelles vous pouvez retrouver du pouvoir ? L’idée est de cesser de penser que la faute vient de l’extérieur. Soyez lucide, ce n’est pas vrai.

L’objectif est d’y voir plus clair aussi bien sur vos forces que sur vos faiblesses, et d’avoir assez de certitudes, de sécurité intérieure, pour traverser cette phase de transition. La question est : comment faire de cette période inconfortable un levier de changement, un moment de création et de développement, aussi bien pour vous-même qu’au niveau professionnel?

1° Ne considérez pas cette période comme un passage à vide

Beaucoup voient cette période de transition comme un vide. Or, en réalité, rien ne s’arrête. La vie continue. Mais il est vrai que les équilibres sont bouleversés et que c’est le bon moment pour remettre de l’ordre, pour en finir avec ce qui vous ne plaît plus, avec certains modes de fonctionnement qui vous pèsent (travail trop présent, vie personnelle sacrifiée…). Autrement dit, un « reset » salutaire et positif pour trouver un poste plus en adéquation avec vous, ou pourquoi pas vous lancer dans un projet qui vous tient à coeur depuis toujours mais que vous n’avez jamais osé concrétiser.

Tout d’abord, prenez le temps de réfléchir et de vous poser les bonnes questions :

  • Quel est mon état de bien-être général ?
  • Quel est mon niveau de stress ?
  • Quel est mon talent unique, ce que personne ne sait faire aussi bien que moi ?
  • Quel est mon projet ? Vous pouvez en avoir plusieurs, de types différents : un projet dit de « continuité », cohérent avec votre parcours, mais aussi un autre, très différent, qui fait davantage appel à l’une de vos passions, par exemple.

Pour chacun de ces points, vous devez identifier une action, une correction, pour mettre en oeuvre quelque chose, améliorer une situation ou opérer un virage. Plutôt qu’une tempête subie, il faut que cette phase de transition soit un espace de développement. Mais pour cela, il faut faire un diagnostic lucide sur soi, sans complaisance. Car si le diagnostic est erroné, le parcours sera plus long et laborieux, et vous risquez de ne pas avancer. Ensuite, c’est la technique des « petits pas » ou de « l’effectuation » qui s’applique : il s’agit d’avancer de manière méthodique, pas à pas, sans s’arrêter.

2° Répertoriez les solutions, pas les problèmes

L’idée est de prendre conscience de ce qui bloque et limite votre impact auprès d’un potentiel recruteur. Cela passe par des mises en situation, cela permet de se mettre dans une dynamique, de se préparer aux questions difficiles, d’habituer son système nerveux aux conditions de l’entretien, de repérer ses axes de progression, d’avoir un regard extérieur et souvent bienveillant et surtout de prendre conscience de ses progrès au fil du temps. Rien ne vaut le training, c’est pourquoi même si vous n’avez pas la possibilité de participer à des sessions de groupe, faites appel à vos amis, à d’anciens collègues de travail, ou encore entraînez-vous en vous enregistrant avec un dictaphone ou plus complexe, une caméra… Cela permet de prendre du recul sur soi et d’avancer.

Le mental a un rôle essentiel dans notre communication. Si l’on commence sa journée par un « encore une journée qui va être dure » ou sa semaine par « encore un lundi où je ne vais pas au bureau comme tout le monde », on envoie au cerveau un stimulus de stress. Lorsque l’on rencontrera un recruteur un peu plus tard dans la journée, notre interlocuteur sentira cet état intérieur négatif. Une bonne habitude consiste à faire, chaque soir, la liste de ce qui s’est bien passé dans la journée, pour se nourrir positivement et créer une dynamique vertueuse.

3° Remettez-vous au top physiquement

Certains médecins prescrivent à leurs patients trois séances de sport de 40 minutes par semaine quand le moral flanche. Le sport peut être, en effet, le meilleur antidote à un passage à vide. En période de transition, vous avez la possibilité de consacrer plus de temps et d’énergie à votre bien-être, profitez-en. L’état de bien-être physique fait partie des fameux 55% identifiés par Albert Merabian (ce chercheur à l’Université de Californie (UCLA) a démontré que l’impact de la communication est beaucoup plus lié aux gestes (55%) et à la voix (38%) qu’aux mots (7%) (lire à ce sujet « La bonne posture pour décrocher un nouvel emploi »). Au cours de cette période, ce qui compte, c’est d’apprendre à évaluer votre état physiologique, de faire attention à votre posture, à votre état de vitalité, et de le considérer comme un outil primordial de votre communication.

Les étapes précédentes permettent de dégager plus de confiance en soi, de faire meilleure impression, condition sine qua non pour que votre réseau soit réceptif à votre demande et accepte de s’impliquer en vous mettant en relation avec certains contacts ou en vous recommandant auprès de personnes potentiellement influentes. J’ai connu des individus qui, après plus de 200 rendez-vous, n’avaient toujours aucune proposition. Cela venait souvent de leur posture intérieure. Dès que celle-ci a évolué, de nouvelles opportunités se sont présentées à eux.

4° Solliciter votre réseau ne doit pas être perçu comme une contrainte

La base du travail du réseau, c’est d’accepter la dimension relationnelle qu’elle implique. On ne peut pas être attractif si l’on a l’impression de déranger. La personne qui prend le temps de vous rencontrer doit se sentir à l’aise à votre contact, au point même de s’imaginer travailler avec vous. C’est ce qui la poussera à vous ouvrir son carnet d’adresses : si elle a envie de travailler avec vous, elle se dit que cela peut être le cas pour d’autres.

Ces rencontres sont aussi l’occasion de glaner de précieuses informations, d’effectuer une veille sur le marché, qui vous sera utile demain, lorsque vous aurez retrouvé un poste. Pour que cela soit efficace, il faut toutefois :

  • Avoir préparé en amont le rendez-vous, vous être renseigné sur la personne qui vous reçoit pour identifier ce qu’elle peut vous apprendre, que ce soit sur son poste, son domaine d’activité, son expérience professionnelle… L’avantage est double : vous récupérerez de l’information et cela mettra votre interlocuteur en confiance, puisqu’il parlera d’un sujet qu’il connaît bien.
  • Faire preuve d’une grande ouverture, d’une posture d’écoute. Il s’agit d’adopter la démarche inverse par rapport au point précédent, de laisser l’autre s’exprimer, y compris sur des sujets que vous n’auriez pas abordés spontanément. Pour cela, posez des questions ouvertes : quel est votre vision ? Qu’en pensez vous ?

D’un côté, de l’ouverture pour laisser la personne s’exprimer et de l’autre, de la précision pour recueillir des informations ciblées sur certains sujets. Il s’agit de naviguer entre ces deux postures. L’objectif : donner l’image de quelqu’un d’attractif et ressortir de chaque entretien en ayant le sentiment de vous être enrichi.

5° Créez-vous des opportunités

Pour éviter que la dynamique du réseau ne s’enraye, il est essentiel de varier les sources et les lieux de « réseautage ». Renseignez-vous sur les réseaux qui sont à votre portée, par le biais de votre école, de votre ville, de votre métier, de certaines associations également. Inscrivez-vous à des conférences, proposez de donner des cours dans des universités… Autant de situations qui vous permettront d’agrandir votre réseau et de vous mettre dans une dynamique constructive.

6° Investissez-vous dans une start-up

Certains se sont investis dans des start-up à mi-temps, parfois seulement pendant quelques mois. Mais à chaque fois, cette expérience les a boostés pour le reste de leur recherche. D’autres encore ont effectué des stages dans des domaines qu’ils ne connaissaient pas, comme l’a fait un ancien directeur du développement d’un grand groupe dans une société de gestion pour découvrir ce métier, l’expérimenter et voir si cela pourrait lui plaire.

La question de l’attractivité, lorsque l’on n’est plus en poste, revient finalement à celle de votre capacité à créer des opportunités. Or, cela passe par un impact relationnel fort. En toutes circonstances. Est ce que le fait de vous croiser demain lors d’un petit déjeuner-débat va être plaisant? Vais-je ressentir du bien-être à votre contact, que ce soit lors de la poignée de main que nous échangerons ou du moment que nous passerons assis l’un à côté de l’autre ? Ensuite, c’est votre capacité à rester agile et ouvert, à allier rencontres en face à face et activités de réseautage qui fera la différence. »

Cet article a été rédigé par Marianne Robert de Massy (Consultante, Coach et Psychologue) dans la Harvard Business Review de mars 2016.

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